Code:

<cv>Aubrey Plaza</cv> @"Bedelia Cortes"

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<cv>Cackling</cv> @"Bedelia Cortes"

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<cv>Télépathie</cv> @"Bedelia Cortes"

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<cv>Aes Sedai</cv> @"Bedelia Cortes"

Code:

<cv>familier</cv> @"Deirdre"

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<cv>Isla R. Darcy</cv> — Hel C. Svensson + Bedelia Cortes

1.
Il est, au départ, difficile de parler de Bedelia sans évoquer son ombre, son frère jumeau : Dara. Les deux enfants Cortès, nés en 1904, sont les descendants d’une réfugiée rescapée d’un mariage désastreux à l’extérieur de l’île. Les jumeaux passent leur enfance à se chamailler puis faire des trêves pour, de concert, mettre du chaos partout où ils passent. Impossibles à tenir, têtus, infatigables, les Jumeaux Cortès sont rapidement connus comme le loup blancs, redoutés en classe : on les sépare à l’Atlantide pour minimiser la catastrophe ambulante. Les deux enfants d’un naturel joyeux cherchent toujours à s’amuser et ne laissent pas grand monde décider à leur place comment le faire. La famille Cortès est une famille unie, normale et malgré les générations passant depuis l’arrivée de la première d’entre eux, se bercent toujours des histoires et les langues de leurs terres d’origines. Outre le chaos semé sur son chemin, l’enfance de Bedelia est relativement tranquille.
Seule petite étrangeté au tableau : le cackling.
La jeune sorcière découvre rapidement sa capacité innée à pouvoir parler et comprendre les oiseaux. Après un bref moment de choc, la famille encourage Bedelia à s’investir dans son don inné en compilant un savoir complet relatif aux oiseaux. C’est sans difficulté et avec entrain que la mage s’adonne à l’apprentissage, comprend petit à petit les différences entre les oiseaux, connaît ce qu’ils sont capables ou non de faire. Elle fait le vœu d’être toujours en bonne entente avec cette famille étendue, avec laquelle elle passe beaucoup de temps. Ils la fascinent et se réjouit de pouvoir communiquer avec eux.


2.
Bedelia fait son service citoyen dans le but d’intégrer, plus tard, le Pommier et de devenir Aes Sedai après une discussion inspirante avec une membre de la faction depuis longtemps au service de la Suprématie ; et qui voit dans le caractère résilient et tenace de la jeune sorcière du potentiel. Dara, lui, n’est pas très sûr de lui mais s’oriente rapidement vers les métiers en contact avec la population. Lorsque vient l’heure de prêter serment, Bedelia mesure sa chance, sait que les places sont chères payées et compte bien rendre sa famille fière.
C’est durant ces années que décède Isadora Cortès d’une maladie. Malgré cela, le départ de la mère de famille se fait le plus en douceur possible. Bedelia redoublera d’investissement dans ses enseignements dans le but d’obtenir le poste rêvé qui sied à ses grandes ambitions et mettra, elle l’espère, sa famille à l’abri de toute autre bévue. La conquête du pouvoir ne l’intéresse pas en tant que telle, mais la mage aspire à de grandes choses et convoite les hautes positions de sa faction. C’est pourquoi elle s’investit chez les Obsidiennes également, dans l’espoir un jour d’entrer au conseil de décisions. Les années au Pommier lui sont extrêmement formatrices : elles lui apprennent la sagesse de la prudence et la patience ainsi qu’à canaliser son énergie débordante. Elle infuse sa créativité dans la maîtrise des sorts d’attaques et d’illusions tout particulièrement, pour lesquels elle se prend de passion. C’est là, aussi, où elle apprend à se réconcilier avec les autorités hiérarchiques, sa plus grande difficulté. Elle apprend à faire confiance à ses supérieurs et à se mordre la langue pour éviter de se retrouver dans leur ligne de mire.  
Dans les premiers mois de son deuil apparaît Deirdre, comme appelé par la peine de la Mage. Rapidement et quand l’animal est en capacité de, Bedelia l’intègre dans son apprentissage et décide d’en faire un partenaire de travail.

3.
Fin des études : la nouvellement nommée Aes Sedai entame son ascension vers les hautes sphères en travaillant d’arrache-pied. Rien ne l’intéresse si ce n’est sa carrière. Elle ne s’arrête pas pour grand-chose : seulement le projet de son frère qui s’est mis en tête d’ouvrir un café-théâtre à la sortie de ses études de commerce. Le « Mama Cortès », co-géré avec leur père, est un lieu plein de vie implanté dans le quartier Galaad, niché au creux d’une rue serpentine. De nombreux évènements s’y déroulent, des rencontres, des débats mais aussi et surtout la présence assez régulière d’une troupe de théâtre dont fait partie Dara. C’est là où elle y rencontrera, à 28 ans, Cecil Hargrave, celui qui devait n’être qu’une relation éphémère parmi d’autres et prendra par la force des choses une part plus importante de sa vie. L’Aes Sedai manque de précaution et tombe enceinte du médecin. Avoir un enfant ne fait pas partie de ses plans, et pourtant quand Bedelia apprend la nouvelle, elle ne s’imagine pas ne pas garder l’enfant, que son amant veuille la suivre ou non. L’idée en tête, l’espionne travaille durement pour ne pas avoir à faire de concessions. Heureusement pour elle et pour Judith qui naîtra l’année de ses vingt-neuf ans, Cecil souhaite faire partie de leur vie. Il est très présent durant la grossesse de Bedelia et ils tenteront même de donner une chance à leur « couple ». Si cet essai ne fonctionne pas, les deux sorciers restent cependant très amis et co-parentent Judith, qui a aujourd’hui 8 ans, du mieux qu’ils le peuvent. Ils ne partagent pas le même lieu de vie mais sont très investis dans la vie de l’un et de l’autre, s’accordent comme ils peuvent avec leurs horaires parfois compliqués.

4.
Jusque-là, l’Aes Sedai menait tranquillement sa barque. Pleinement investie dans sa carrière, jonglant avec sa vie de famille et les multiples activités auxquelles elle s’adonne à côté lorsque du temps lui reste ; Bedelia n’est jamais au même endroit, traîne sa fille partout et il n’est pas rare de les voir participer aux événements du café de Dara. Il lui semblait avoir trouvé le bon équilibre. Elle était en bonne voie.
Et puis, quelques semaines plus tôt, sa témérité l’aveugle lors d’une mission à l’extérieur de l’île et manque de lui coûter la vie. Cette erreur de jugement dont elle ne s’explique pas la cause, d’ordinaire efficace et précise, lui vaut un tour direct chez sa supérieure, la Spymaster. C’est l’occasion idéale pour celle-ci de la remettre à sa place et de lui proposer – plutôt lui imposer, comme punition, de suivre comme une ombre Lilith van Bredevoort, la fille de la Suprême, pour assurer sa protection. Sa soudaine rétrogradation au statut de babysitter, désormais confinée sur l’île, lui reste au travers de la gorge. Mais la sorcière s’acquitte de sa tâche avec diligence, comptant les jours ou elle pourra de nouveau reprendre ses fonctions et un poste moins ingrat.

BIENVENIDOOO AGAIN, vieille morue.

Avec un nom pareil, elle va déguster, MWAHAHA !
J'ai hâte de voir ce que tu vas faire son histoire, et j'réfléchis à des liens. VOILÀ, bisou.

Bon nouveau personnage

J'en reviens toujours pas de ce nom

J'ai hâte de RP avec cette nouvelle tête

Et puis le faceclaim ... mais tu sais déjà tout ça

Laisse là, ce prénom est parfait

Trop hâte de rp avec ta nouvelle relou Et +1, le faceclaim yuum

Merci merci tout le monde
Et mon prénom est très bien bande de morues
Hâte de venir vous embêter avec elle

Bonjour et bienvenu madame l'espionne